HEXAPNEUMINE ADULTES, sirop, boîte de 1 flacon de 200 ml

Dernière révision : 22/06/2020

Taux de TVA : 10%

Laboratoire exploitant : BOUCHARA RECORDATI

Source : Base Claude Bernard

Traitement symptomatique des toux non productives gênantes, en particulier à prédominance nocturne.

Ce médicament est CONTRE INDIQUE dans les situations suivantes :

· Hypersensibilité aux substances actives ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique Liste des excipients ;

· Enfant de moins de 15 ans.

En raison de la présence de pholcodine :

· Insuffisance respiratoire ;

· Toux de l'asthmatique ;

· Allaitement ;

· En association avec les médicaments contenant de l'oxybate de sodium (rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions)

En raison de la présence de chlorphénamine :

· Risque de glaucome par fermeture de l'angle ;

· Risque de rétention urinaire liée à des troubles urétro-prostatiques.

Mises en garde speciales

ATTENTION : le titre alcoolique du sirop est de 6,8° soit 270 mg d'alcool par cuillère à café.

Ce médicament contient 6,8 % V/V d'éthanol (alcool), c'est-à-dire jusqu'à 270 mg par cuillère à café de sirop. L'utilisation de ce médicament est dangereuse pour les sujets alcooliques et doit être prise en compte chez les femmes enceintes ou allaitant, les enfants et les groupes à haut risque tels que les insuffisants hépatiques ou les épileptiques.

Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au saccharose.

Ce médicament contient du parahydroxybenzoate de méthyle sodique (E219) et peut provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées).

Ce médicament contient un agent azoïque: le jaune orangé S (E110) et peut provoquer des réactions allergiques.

Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire sont à respecter.

Il est illogique d'associer un expectorant ou un mucolytique à un antitussif.

Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique.

Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.

Il convient d'être prudent chez le sujet âgé présentant une plus grande sensibilité aux dérivés morphiniques (analgésiques ou antitussifs).

Des réactions cutanées sévères incluant la pustulose exanthématique aigüe généralisée (PEAG) ont été rapportées en association avec l'HEXAPNEUMINE. Ces réactions peuvent mettre en jeu le pronostic vital ou peuvent être d'évolution fatale.

Au moment de la prescription d'HEXAPNEUMINE, les patients devront être informés des signes et symptômes en relation avec ces effets. Ces réactions cutanées devront faire l'objet d'une surveillance étroite. Si ces signes et symptômes apparaissent, le traitement devra être immédiatement arrêté. La plupart de ces réactions surviennent le plus souvent au cours de la première semaine de traitement.

Précautions d'emploi

La chlorphénamine doit être utilisée avec prudence :

· Chez le sujet âgé présentant :

o Une plus grande sensibilité à l'hypotension orthostatique, aux vertiges et à la sédation,

o Une constipation chronique (risque d'iléus paralytique),

o Une éventuelle hypertrophie prostatique,

· En cas d'insuffisance hépatique et/ou rénale sévères, en raison du risque d'accumulation.

La prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions) pendant le traitement est déconseillée.

Ce médicament contient 7,5 g de saccharose par prise (2 cuillères à café). Ceci est à prendre en compte pour les patients atteints de diabète sucré. Les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/ isomaltase (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.

Alerte ANSM du 01/09/2022
Risque d’allergie grave aux curares en cas d’utilisation des sirops contre la toux contenant de la pholcodine
D’après une nouvelle étude, la prise d’un médicament à base de pholcodine, utilisé contre la toux, expose à un risque important de faire une allergie grave aux curares, indiqués lors d’une anesthésie générale, même si l’anesthésie a lieu plusieurs semaines après la prise du médicament.
Compte tenu du caractère non indispensable de ces sirops et de l’existence d’alternatives thérapeutiques, l’ANSM estime que leur rapport bénéfice / risque est défavorable.
En conséquence, l’ANSM envisage de suspendre les autorisations de mise sur le marché (AMM) en France des sirops contre la toux à base de pholcodine.

Les effets indésirables sont classés par fréquence et par classe de système d'organes. La fréquence est définie par la convention suivante : très fréquent (> 1/10), fréquent (> 1/100 à < 1/10), peu fréquent (> 1/1 000 à <1/100), rare (> 1/10 000 à < 1/1 000), très rare < 1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Liés à la présence de pholcodine

Fréquence Système Organe Très fréquent (>10) Fréquent (>1/100 - <1/10) Peu fréquent (>1/1 000 - <1/100) Rare (< 1/1 000 - >1/10 000) Très rare (< 1/10 000) Indéterminée
Affections du système immunitaire Réaction cutanées allergiques
Affections du système nerveux Etats vertigineux Somnolence
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Bronchospasme
Affections gastro-intestinales Nausées, vomissements Constipation
Affections de la peau et du tissu sous-cutané Pustulose exanthématique aiguë généralisée (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi)

Liés à la présence de chlorphénamine

Les caractéristiques pharmacologiques de la molécule sont à l'origine d'effets indésirables d'inégale intensité et liés ou non à la dose (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques) :

Fréquence Système Organe Très fréquent (>10) Fréquent (>1/100 - <1/10) Peu fréquent (>1/1 000 - <1/100) Rare (< 1/1 000 - >1/10 000) Très rare (< 1/10 000 Indéterminée
Affections hématologiques et du système lymphatique Anémie hémolytique, leucopénie, neutropénie, thrombocytopénie
Affections du système immunitaire Œdème de Quincke Choc anaphylactique, Urticaire éventuellement géante
Affections psychiatriques Nervosité Hallucinations
Affections du système nerveux Agitation, insomnie Confusion mentale, incoordination motrice, hypotension orthostatique, Mydriase (effet anticholinergique). Sédation, somnolence (plus marquée en début de traitement), tremblements. Baisse de la mémoire ou de la concentration, troubles de l'équilibre, vertiges, (plus fréquents chez le sujet âgé).
Affections oculaires Troubles de l'accommodation (effet anticholinergique)
Affections cardiaques Palpitations cardiaques (effet anticholinergique)
Affections vasculaires Purpura
Affections gastro-intestinales Constipation (effet anticholinergique)
Affections de la peau et du tissu sous-cutané Erythèmes, eczéma, prurit.
Affections du rein et des voies urinaires Rétention urinaire (effet anticholinergique)
Troubles généraux et anomalies au site d'administration Sécheresse des muqueuses (effet anticholinergique), oedème.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : signalement.social-sante.gouv.fr

NOUVEAU-NE DE MERE TRAITEE : au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de pholcodine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né. Surveiller les fonctions neurologiques et digestives du nouveau-né de mère traitée en fin de grossesse.
ALERTE ANSM DU 08/09/2022 :
Suite aux résultats d'une étude de sécurité post AMM confirmant l'existence d'une association entre une exposition antérieure à la pholcodine et le risque de réaction anaphylactique aux curares, les autorisations de mise sur le marché de tous les médicaments à base de pholcodine sont suspendues à compter du 8 septembre 2022, à titre de précaution et dans l'attente d'une réévaluation européenne sur le risque de réaction allergique croisée avec les curares.
NE PLUS PRESCRIRE OU DELIVRER ces médicaments.
EN CAS D'ANESTHESIE ET/OU UTILISATION DE CURARES, les professionnels de santé doivent s'enquérir de la consommation de pholcodine, même ancienne, par les patients.

Ce médicament contient un antitussif la pholcodine. D'autres médicaments en contiennent ou contiennent un autre antitussif. Ne les associez pas, afin de ne pas dépasser les doses maximales conseillées.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (somnolence).
EVITER LA PRISE de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l'alcool pendant le traitement.
ARRETER LE TRAITEMENT ET CONSULTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :

- Réactions allergiques de type éruption cutanée (érythèmes, eczéma, démangeaisons, purpura, urticaire), oedème, plus rarement oedème de Quincke (urticaire avec brusque gonflement du visage et du cou pouvant entraîner une gêne respiratoire), choc anaphylactique,

- Apparition ou recrudescence d'une fièvre accompagnée ou non de signes d'infections.

- Saignements de nez ou des gencives.

- Eruption cutanée généralisée de couleur rouge et squameuse avec des bosses sous la peau et des cloques, associée à de la fièvre pouvant survenir en début de traitement.

 

ALERTE ANSM DU 08/09/2022 :

INFORMER L'ANESTHESISTE que vous avez pris de la pholcodine dans le passé si vous devez subir une anesthésie.
D'après une nouvelle étude, la prise d'un médicament à base de pholcodine, utilisé contre la toux, expose à un risque important de faire une allergie grave aux curares, indiqués lors d'une anesthésie générale, même si l'anesthésie a lieu plusieurs semaines après la prise du médicament.



Grossesse

La présence de pholcodine conditionne la conduite à tenir pendant la grossesse et l'allaitement.

+ Aspect malformatif (1er trimestre)

Il n'y a pas d'étude tératogenèse disponible chez l'animal.

En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à la pholcodine est insuffisant pour exclure tout risque.

+ Aspect foetotoxique (2éme et 3ème trimestre)

Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de pholcodine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.

En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.

En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant la grossesse.

Si l'administration de ce médicament a eu lieu en fin de grossesse, il semble justifié d'observer une période de surveillance des fonctions neurologiques et digestives du nouveau-né en raison des propriétés atropiniques de la chlorphénamine.

Allaitement

La pholcodine et la chlorphénamine passent dans le lait maternel.

Compte tenu :

· Des quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires qui ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses supra-thérapeutiques ;

· Des propriétés sédatives de la chlorphénamine.

La prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement.

Associations contre-indiquées

Liée à la présence de pholcodine

+ Oxybate de sodium

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage.

Associations déconseillées

Liées à la présence de pholcodine et de chlorphénamine

+ Alcool (boisson ou excipient)

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances.

L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

Associations à prendre en compte

Liées à la présence de pholcodine et de chlorphénamine

+ Autres médicaments sédatifs (dérivés morphiniques : analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques, des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que les benzodiazépines : par exemple, le méprobamate, des hypnotiques, des antidépresseurs sédatifs : amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine, des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurs centraux, du baclofène et du thalidomide)

Majoration de la dépression centrale.

L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

Liées à la présence de pholcodine

+ Analgésiques morphiniques agonistes

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage.

+ Méthadone

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage.

+ Barbituriques

Risque majoré de sédation et de dépression respiratoire pouvant entraîner coma et décès, notamment chez le sujet âgé. Il convient de limiter autant que possible les doses et la durée de l'association.

+Benzodiazépines et apparentés

Risque majoré de sédation et de dépression respiratoire pouvant entraîner coma et décès, notamment chez le sujet âgé. Il convient de limiter autant que possible les doses et la durée de l'association.

+Médicaments atropiniques

Risque important d'akinésie colique, avec constipation sévère.

Liées à la présence de chlorphénamine

+Autres médicaments atropiniques

Addition des efftes indésirables atropiniques à type de rétention urinaire, constipation, sécheresse de la bouche.

+Anticholinestérasiques

Risque de moindre efficacité de l'anticholinestérasique par antagonisme des récepteurs de l'acétylcholine par l'atropinique.

+Morphiniques

Risque important d'akinésie colique, avec constipation sévère.

Posologie

RESERVE A L'ADULTE ET L'ENFANT DE PLUS DE 15 ANS.

1 cuillère à café contient 6 mg de pholcodine et 0,6 mg de chlorphénamine.

La posologie usuelle est de :

· Chez l'adulte : 2 cuillères à café par prise, à renouveler en cas de besoin au bout de 4 heures, sans dépasser 6 prises par jour.

· Chez le sujet âgé ou en cas d'insuffisance hépatique : la posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée chez l'adulte, et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.

Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où survient la toux.

Il convient de privilégier les prises vespérales en raison de l'effet sédatif de ce médicament.

Mode d'administration

Voie orale.

Durée de conservation :

Avant ouverture : 2 ans.

Après ouverture : 8 jours.

Précautions particulières de conservation :

Pas de précautions particulières de conservations.

Sans objet.

Symptômes :

· D'un surdosage en pholcodine : dépression respiratoire, convulsions, coma.

· D'un surdosage en chlorphénamine : convulsions, troubles de la conscience, coma

Traitement symptomatique en milieu spécialisé :

· Assistance respiratoire et naloxone en cas de dépression respiratoire ;

· Benzodiazépines en cas de convulsions.

Classe pharmacothérapeutique : ANTITUSSIF OPIACE - ANTIHISTAMINIQUE A USAGE SYSTEMIQUE (R : système respiratoire)

Association d'un antitussif (pholcodine), d'un antihistaminique (chlorphénamine) et de biclotymol.

Pholcodine : dérivé morphinique antitussif d'action centrale. Son action dépressive sur les centres respiratoires est moindre que celui de la codéine.

Chlorphénamine : antihistaminique H1, à structure propylamine (alkylamine substituée) qui se caractérise par :

· Un effet sédatif marqué aux doses usuelles, d'origine histaminergique et adrénolytique centrale,

· Un effet anticholinergique à l'origine d'effets indésirables périphériques,

· Un effet adrénolytique périphérique, pouvant retentir au plan hémodynamique (risque d'hypotension orthostatique).

Les antihistaminiques ont en commun la propriété de s'opposer, par antagonisme compétitif plus ou moins réversible, aux effets de l'histamine notamment sur la peau, les vaisseaux et les muqueuses conjonctivales, nasales, bronchiques et intestinales.

Ils possèdent pour la plupart une activité antitussive, qui est modeste par elle-même mais qui potentialise les effets des antitussifs centraux morphiniques ainsi que ceux d'autres bronchodilatateurs comme les amines sympathomimétiques auxquelles ils sont souvent associés.

La pholcodine est complètement absorbée après administration orale.

Son élimination s'effectue principalement dans les urines et 30 à 50% de la dose administrée sont retrouvés sous forme inchangée.

Chlorphénamine

Biodisponibilité

La biodisponibilité de la chlorphénamine est comprise entre 25 et 50%. Il existe un effet de premier passage hépatique important.

Distribution

Le temps pour atteindre la concentration plasmatique maximale est de 2 à 6 heures, mais l'effet est maximal 6 heures après la prise. La durée de l'effet varie de 4 à 8 heures.

La liaison aux protéines plasmatiques est de 72%.

Metabolisme

Le métabolisme est hépatique et conduit à un métabolite inactif par déméthylation.

Élimination

L'élimination est rénale, avec une proportion comparable de produit éliminé sous forme inchangée ou métabolisée. La demi-vie d'élimination est comprise entre 14 et 25 heures.

Variations physiopathologiques :

· L'insuffisance hépatique ou rénale augmente la demi-vie de la chlorphénamine ;

· La chlorphénamine traverse le placenta et passe dans le lait maternel.

L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines sur les forts risques de somnolence attachés à l'emploi de ce médicament.

Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées ou d'autres médicaments contenant de l'alcool.

Non rensigné.

Agiter le flacon avant emploi.

Liste I.

Sirop.

Flacon en (poly-(chlorure de vinyle)) brun de 200 ml obturé par un bouchon en aluminium), muni intérieurement d'un joint en triseal.

Pholcodine...................................................................................................................... 0,12000 g

Maléate de chlorphénamine.............................................................................................. 0,01200g

Biclotymol........................................................................................................................ 0,20000g

Pour 100 ml de sirop.

1 cuillère à café contient 6 mg de pholcodine et 0,6 mg de chlorphénamine.

Excipient(s) à effet notoire : alcool (270 mg/cuillère à café), saccharose (3,75 g/cuillère à café), jaune orangé S (E110), parahydroxybenzoate de méthyle sodique (E219).

Titre alcoolique volumique du sirop : 6,8% (V/V).

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique Liste des excipients.

Ethanol à 95 pour cent, jaune orange S (E110), saccharose, gomme Guar, parahydroxybenzoate de méthyle sodique (E219), acide citrique monohydraté, citrate de sodium, arôme orange*, eau purifiée

* Composition de l'arôme orange : éthanol à 70 pour cent, huile essentielle soluble d'orange Valencia Floride (99,9%), substances aromatisantes identiques aux naturelles (laevo linalol-citral-butyrate d'éthyle-hexanoate d'éthyle et ß ionone) (0,1%).